CRASH A ROSWELL
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Roswell : de 1947 à aujourd'hui
Que s'est-il vraiment passé dans le désert du Nouveau-Mexique en 1947 à Roswell ? L'US Air Force annonce officiellement avoir récupérer une soucoupe volante avant de se rétracter. Ce simple événement va hisser l'affaire Roswell au rang d'un mythe légendaire, nourri au début des années 90 par le film controversé de l'autopsie de l'extra-terrestre de Roswell.
Le cas Roswell est devenue depuis, la plus célèbre affaire de crash d'ovni et d'extra-terrestres retrouvés, grâce aux témoignages de Jesse Marcel Jr, Glenn Denis, Kevin Randle, et de nombreux autres acteurs et témoins de cette affaire.
Pourtant l'affaire Roswell continue de laisser planer le doute. Encore aujourd'hui, des commissions d'enquêtes se penchent sur cette affaire et l'on apprend que toutes les archives relatives à cette affaire auraient été détruites, contrairement aux règles gouvernementales.Jesse Marcel a dit que les débris que l'on peut voir sur cette photo, ne sont pas ceux qu'il avait déposé au même endroit, quelques minutes plus tôt. Mais il est déjà trop tard pour s'en plaindre, ses supérieurs hiérarchiques font entrer les journalistes et c'est à cet instant précis que cette photo est prise.
Le lendemain la photographie paraît dans les journaux et la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Jesse Marcel est soumis au secret militaire, il ne pourra plus jamais parler de cette affaire à personne.
Mais quelques années plus tard, il en parle à sa propre famille, insistant sur le fait que ce jour là, ses supérieurs avaient dissimulé les vrais débris dans une autre pièce et que ceux qu'il avait ramassé à Roswell n'y ressemblaient pas du tout.
Selon lui, ces débris venaient vraiment d'une soucoupe volante crashée.Bref, tout dans cette affaire ne tourne pas rond. Comme le fermier qui a retrouvé les premiers débris de l'ovni présumé. Ce dernier a soudainement eu les moyens de se payer une nouvelle ferme et un nouveau terrain…
Aurait-on acheté son silence ?
Son histoire est celle d'un fermier, pauvre, qui retrouve dans son champs des débris réellement étranges. Plusieurs jours après l'incident, les militaires entrent en contact avec lui. A partir de là, sa version va complètement changer. Les militaires américains l'auraient-ils forcé à donner une version moins embarrassante pour les autorités ?Même une radio locale qui avait enregistrée son interview n'obtiendra pas l'autorisation de la diffuser. L'armée donnera un ordre stricte au patron de cette station de radio, lui disant que si l'interview était diffusée, il perdrait son job et l'autorisation d'émettre.
En somme, tous les témoins de cette affaire on soit étés menacés, soit achetés par les militaires pour garder le silence. Ajoutez à ça que les informations relatives au crash de Roswell auraient toutes étés détruites et vous obtenez un superbe complot militaire.
Le plus étrange, si vous regardez de prêt l'histoire des agences de sécurité américaines, c'est qu'en 1947 il y a eu énormément de changements dans le F.B.I et la C.I.A. C'est même en 1947 que le groupe Majestic 12 aurait été créé. Il faut croire que quelques personnes, à l'époque, commençaient déjà à payer le prix du silence. Plusieurs personnes au F.B.I et à la C.I.A auraient été remplacées de leurs postes respectifs, d'autres y auraient pris leurs places.
Décidément, ce ballon météo fait des ravages ! :-)À l'époque, des OVNIs étaient déjà signalés et captés par les radars.
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Un crash et l'analyse d'un débris
L'analyse d'un débris qui proviendrait du Crash de Roswell
ARTÉFACT.
Est-ce un matériau extraterrestre ?« Nous avons démontré que ce matériel révèle des variations significatives des normes de composition isotopique trouvées sur Terre et devrait être considéré comme d'origine extraterrestre. » Dr. Russell Vernon-Clark
Le 4 juillet 1997 au matin, dans une salle de Roswell, Nouveau-Mexique, des centaines de journalistes de la presse d'information et d'autres auditeurs intéressés se sont réunis pour ce qui était annoncé comme une conférence de presse sur l'investigation scientifique d'un objet présumé avoir été récupéré lors de l'accident d'un ovni près de Roswell en 1947.
L'orateur principal, le Dr. Russell Vernon-Clark, chimiste de l'université de Californie, San Diego, a lu son rapport préparé d'avance, et a immédiatement quitté la salle, frustrant beaucoup de journalistes qui auraient voulu le questionner. Néanmoins, les résultats donnés par M. Vernon-Clark représentent assurément la plus grande surprise de la semaine du festival appelé Rencontre 97 de l'ovni de Roswell.
Paul Davids, producteur de film à Los Angeles, a ouvert les débats sur le thème de l'incident de Roswell, puis a passé la suite à l'hypnothérapeute de Houston, Derrel Sims. C'est Sims qui avait acquis l'objet prétendu extraterrestre et qui, avec l'aide du producteur de télévision Christopher Wyatt, avait organisé l'exploration scientifique de l'objet.Plan d'investigation de l'objet façonné :
- Les Critères
- L'Objet façonné
- L'exploration étude spectrométrique
- ICP/MS
- SIMS
- ICP/OES
- Les Données
. Nickel
. Zinc
. Argent
. Silicium
. Germanium
- Conclusions
Extraits de l'intervention de Derrel Sims :« Nous sommes ici aujourd'hui pour rendre public les résultats de l'étude en laboratoires, les conclusions scientifiques et la chaîne d'évidence de ce qui est, sans doute, une des plus extraordinaires découvertes de notre temps.
Avant de commencer, je voudrais remercier en premier mon collègue, le Dr. Roger Leir, et le producteur Chris Wyatt. Je voudrais également remercier le Dr Russell Vernon-Clark, qui est avec nous ici aujourd'hui, pour sa patience pendant le long processus d'évaluation et pour son courage à se proposer pour cette recherche.
En août 1995, j'ai été contacté par un homme qui prétendait posséder ce qu'il disait être des «fragments de débris » provenant de l'accident de Roswell de 1947. Après l'avoir rencontré, nous avons commencé une large investigation sur l'histoire de ce matériel et les faits rapportés par la source. Ensuite, nous avons appris que ce matériel avait été gardé secret pendant presque 50 ans par crainte du ridicule et de représailles.
Avant de recevoir les résultats de l'étude de métallurgie préliminaire, nous ne pensions pas la source croyable et le matériel digne de recherches ultérieures. Ces résultats préliminaires suggéraient que ce débris était assez unique par sa composition et sa structure pour exiger notre attention et en promouvoir l'étude en laboratoire.
Nous avons alors pris possession du matériel. Il fut d'abord fragmenté pour en conserver une part et distribuer le reste à des laboratoires et des scientifiques à travers le pays. La procédure d'évaluation a alors commencé. Avant de considérer qu'un matériau ou un objet travaillé peut être considéré comme un artéfact extraterrestre, trois caractéristiques principales doivent être satisfaites.D'abord, l'étude doit fournir des résultats concluant que la composition élémentaire du matériel est d'origine extraterrestre et ne peut pas provenir de ce monde. Deuxièmement, il doit avoir une structure uniforme. Et troisièmement, les études en laboratoire doivent prouver que le matériel est manufacturé et non pas formé par la nature. C'est-à-dire, ce ne doit pas être une météorite ou un fragment de météorite.
C'est la première fois qu'un débris de Roswell est montré au public. Après un an et demi de recherche intensive, des scientifiques de tous les États-Unis ont conduit une batterie d'essais en laboratoire qui concluent que le matériel que vous avez devant vous est manufacturé, est structuré, et d'origine extraterrestre.L'objet façonné prétendu extraterrestre
Gros plan de l'objet façonné à coloration peu commune.
Ce morceau de débris mesure approximativement 3,70 x 1,85 x 1,60 cm. La surface frontale montre une courbure à deux niveaux et une décoloration provoquée par une exposition à une chaleur extrême. Cette décoloration s'étend de l'indigo au vert foncé.
Que le thème de l'intelligence extraterrestre soit ou non dans votre système de croyances, l'évidence scientifique sur le matériel présenté, combinée avec l'histoire des débris, nous a conduit à la conclusion que quelque chose d'origine extraterrestre, qu'un aéronef se soit crashé ou non, était de fait présent dans le désert près de Roswell en juillet 1947. »
A ce moment Derrel Sims présente le Dr. Russell Vernon-Clark et lui laisse le podium. Le texte complet des commentaires du Dr Vernon-Clark suivent :Commentaires de Russell Vernon-Clark :
« Bonjour. Mon nom est Dr. Russell Vernon-Clark. Je suis un scientifique actuellement utilisé par l'université de Californie, à San Diego et je possède un doctorat en chimie.
Depuis un an et demi, j'ai été, à titre privé, impliqué dans l'investigation et l'analyse du matériel que vous a décrit Derrel, et je suis ici pour présenter les résultats des tests et de l'analyse conduits jusqu'ici sur ce matériel par des scientifiques à travers les États-Unis.
Au moyen de tests complets - qui incluaient une spectroscopie induite couplée de masse et à plasma et la spectroscopie de masse ionique secondaire - nous avons établi que ce matériel révèle des variations signifiantes des normes de composition isotopique trouvées sur la Terre et devrait être considéré comme d'origine extraterrestre. De plus, en utilisant la spectroscopie induite couplée à émission optique et à plasma, il a été établi que ce matériel devait être considéré comme manufacturé, comme n'étant pas d'origine naturelle.
Il est bien connu que toute la matière est composée d'atomes. Un atome se compose d'un noyau entouré par un nuage d'électrons. Tous les noyaux, autre que l'hydrogène le plus simple (un proton), sont composé à la fois de protons et de neutrons.Les atomes qui ont le même nombre de protons appartiennent tous à un même élément, comme l'aluminium ou le carbone. Quand le nombre de protons, entre deux atomes ou plus, est le même mais que le nombre de neutrons est différent, ces atomes s'appellent des isotopes. Par exemple, un isotope du carbone à six protons et six neutrons est appelé carbone-12. Un autre isotope à six protons et sept neutrons est le carbone-13. Le carbone naturel sur Terre est un mélange de 98,9% de carbone-12 et 1,1% de carbone-13. Cela est vrai pour tout les carbones d'origine terrestre naturelle.
Si un échantillon de carbone s'avérait être un mélange à 50% de carbone-12 et 50% de carbone-13, nous devrons conclure que l'échantillon n'est pas d'origine naturelle terrestre.
J'ai personnellement conduit le premier ensemble d'étude des rapports isotopiques en utilisant la spectroscopie induite couplée de masse et à plasma ou ICP/MS pour faire court. L' ICP/MS est utile pour déterminer la composition élémentaire et les rapports isotopiques d'une gamme extrêmement grande d'éléments. Dans le cas de 'artéfact, l'échantillon a été dissous dans un mélange d'acides nitrique et fluorhydrique. Le matériel a ensuite été pulvérisé dans un plasma d'argon ce qui sépare les ions atomiques.
Les ions sont accélérés dans un spectromètre de masse pour séparation et détection. Vous comptez en effet le nombre de noyaux atomiques qui correspond à un isotope spécifique.
Parce que notre temps est limité aujourd'hui, je sauterai les complexités de l'analyse et des données et vous donne une brève vue d'ensemble des résultats de l'ICP/MS. Tous les isotopes que j'ai choisi d'analyser étaient présents sous forme de traces.L'analyse que j'ai conduite a découvert les anomalies isotopiques suivantes. Commençons par le nickel.
NickelComposition isotopique de l'échantillon :
Note. Le nickel a cinq isotopes stables, nommés 58, 60, 61, 62 et 64. Le Dr Vernon-Clark a examiné trois de ces isotopes, remarquables dans le graphique ci-dessus et le diagramme ci-dessous. Les résultats ne tiennent pas compte du nickel 58 ni du 64 qui pourraient avoir été présents dans l'échantillon. Ainsi, les valeurs numériques de chaque isotope sont exprimées en tant que « rapports relatifs » plutôt que les vrais taux en pourcentage de chaque isotope dans l'échantillon. -- Nouvelles Cni
Masse atomique de l'élément Rapport relatif naturel Rapport relatif dans l'artéfact Ni Ni
Ni
59,93 60,93
61,93
84,20 4,02
11,78
64,7 11,77
23,53
Deux des isotopes du nickel présents étaient de masses 60 et 61. Sur la Terre, les taux naturels de ces isotopes du nickel sont respectivement de 26,1% et 1,13%. C'est-à-dire un rapport d'environ 23 / 1.
Dans le matériel examiné, le rapport est dramatiquement diminué à 5 / 1, c'est-à-dire 4 fois moins ! Ceci est sensiblement différent des taux isotopiques du nickel terrestre.
ZincComposition isotopique de l'échantillon :
Note: Le zinc a cinq isotopes stables, de nombres 64, 66, 67, 68, et 70. Le Dr. Vernon-Clark a examiné deux de ces isotopes, évalués comme noté dans le graphique ci-dessus et le diagramme ci-dessous. Les résultats ne tiennent pas compte de tout zinc 67, 68 ou 70 qui pourrait avoir été présent dans l'échantillon.
Ainsi, les valeurs numériques de chaque isotope sont exprimées comme « des rapports relatifs » plutôt que les vrais taux pour cent de chaque isotope dans l'échantillon. -- Nouvelles de Cni ]
Masse atomique de l'élément Rapport relatif naturel Rapport relatif dans l'artéfact Zn Zn
69,93 65,93
63,74 36,26
30,6 69,4
Les deux isotopes du zinc examinés dans ce matériel étaient de masse 64 et 66. Sur Terre, les taux naturels du zinc pour ces deux isotopes sont respectivement de 48,6 % et 27,9 %. C'est un rapport d'environ 7 / 4. Dans le zinc de l'objet de Roswell, ce rapport est inversé à 4 / 9 ! C'est encore sensiblement différent du zinc terrestre.
ArgentComposition isotopique de l'échantillon :
Note. L'argent n'a que deux isotopes stables, tous les deux ont été examinés par le Dr. Vernon-Clark. Bien que mentionnés « rapports relatifs » dans le graphique ci-dessus et le diagramme ci-dessous, les valeurs numériques des deux isotopes argent sont équivalents au vrai pourcentage quantitatif pour le pourcentage dans l'échantillon. -- Nouvelles Cni
Masse atomique de l'élément Rapport relatif naturel Rapport relatif dans l'artéfact Ag Ag
106,91 108,90
51,35 48,65
33,34 66,66
Finalement, il y avait deux isotopes d'argent stables dans le matériel, Ag 107 et 109. Ces isotopes sont trouvés sur Terre dans un rapport proche de 1/1. Le rapport de ces isotopes argent dans l'échantillon était de 1/2. De nouveau, c'est une différence significative avec l'argent terrestre isotopique.
En raison de la taille de l'échantillon, j'ai dû en tenir compte, et parce que l'on a utilisé la méthode à double insu, c'est-à-dire que je n'avais aucune idée de l'origine du prélèvement et de sa composition, j'ai fortement insisté pour que plus d'essais soient entrepris pour corroborer ces résultats et pousser l'étude de la composition élémentaire du matériel.
Mes conclusions et recommandations primitives ont mené à une deuxième série d'études. La spectroscopie de masse ionique secondaire, ou SIMS, analyse était réalisée par un collègue d'un autre grand centre universitaire de la côte ouest. Avec cette méthode, l'échantillon est bombardé par les ions et la surface du matériel est « pulvérisée » au loin. Ce matériel est accéléré dans un spectromètre de masse pour la séparation et la détection. De nouveau, vous pouvez, en effet, compter le nombre de noyaux atomiques correspondant à un isotope spécifique.
SiliciumComposition isotopique de l'échantillon :
Ce test par SIMS a corroboré les résultats initiaux de l'ICP/MS et a révélé d'autres anomalies isotopiques non détectées dans la première analyse. L'échantillon, que nous savons maintenant être du silicium presque pur, montre une forte variation vis-à-vis du taux naturel.
Masse atomique de l'élément Rapport relatif naturel Rapport relatif dans l'artéfact Si Si
Si
28 29
30
92,18 4,71
3,11
26,55 43,28
30,16
Par exemple, le silicium 28 est abondant à 92 % sur Terre. Dans cet échantillon, il est présent seulement à 26%. Les deux autres isotopes stables, le silicium 29 et 30, sont considérablement augmentés de plus de 10 fois leur abondance naturelle terrestre.
Germanium
Composition isotopique de l'échantillon :
Masse atomique de l'élément Rapport relatif naturel Rapport relatif dans l'artéfact Ge Ge
Ge
Ge
Ge
Ge
70 72
73
74
75
76
20,52 27,43
7,76
36,54
0,0
7,76
0,0 94,46
3,28
2,11
0,11
0,04
Une variation semblable a été trouvée pour le germanium avec l'isotope de masse 72 dans l'échantillon examiné dominant à 94% du germanium total. Le germanium naturel d'origine terrestre a seulement un taux de 27% pour cet isotope.
NOTE : Le germanium 75 est radioactif avec une demi vie très courte. Sa présence dans l'objet est donc anormale. Il peut s'agir d'une erreur dans l'étude ou d'un sous-produit d'un autre isotope instable de l'échantillon étudié. - Nouvelles Cni. ]
La spectroscopie induite couplée à émission optique / plasma ou ICP/OES a été menée sur le matériel par un laboratoire privé du Texas. C'est par cette étude qu'on a déterminé que le matériel était très probablement manufacturé et non d'origine naturelle.
L'ICP/OES est utile pour déterminer la composition élémentaire pour une gamme extrêmement grande d'éléments. L'échantillon est pulvérisé dans un plasma d'argon qui isole les ions atomiques. Ces atomes sont excités par l'énergie du plasma et émettent un rayonnement électromagnétique ou lumière, avec des longueurs d'onde (couleurs) spécifiques de chaque élément. Cet instrument ne fait pas de différence entre les isotopes.
La composition de ce matériel a été trouvée être du silicium à plus de 99%.
Par conséquent on doit considérer que ce matériel est à la fois manufacturé et d'origine extraterrestre.Gardez s'il vous plaît dans l'esprit qu'en dépit de la discussion prolongée et des descriptions de technique scientifique, ces travaux de laboratoire sont extrêmement précis. Dans le cas de l'ICP/MS et de la SIMS, nous regardons pratiquement à l'intérieur de l'atome au niveau du noyau et nous pesons son contenu. Simplement dit, ces études ont de loin un taux d'erreur moindre, si vous pardonnez l'analogie, que souvent l'étude la plus sophistiquée de recherche d'ADN réalisée aujourd'hui.
Tandis que les résultats de ces études sont étonnants, le processus d'évaluation continue. Des fragments du matériel ont déjà été remises à d'autres membres de la communauté scientifique et l'analyse objective continue. Actuellement, les données brutes et les conclusions de ces études sont en train d'être compilées et seront soumises à une publication à référés quand le restant de l'évaluation sera terminée. » [conclusion du Dr Vernon-Clark. ]
NOTE: Les nouvelles de CNI donnent ces informations dans l'intérêt du public et de la discussion, à l'invitation directe de Derrel Sims et de Christopher Wyatt. En préparant cette page, nous avons à plusieurs reprises consulté le Dr. Vernon-Clark sur ses données pour assurer l'exactitude de notre présentation. Nous resterons en contact constant avec les éléments de ces recherches et nous rapporterons les nouveaux développements au fur et à mesure de achèvement.
Crash à Roswell : La Connexion Los Alamos
Crash à Roswell : La Connexion Los Alamos
Échantillon d'un article du Star Beacon du mois de novembre 2001
Par James Parsons
Une visite au Musée International d'OVNI (International UFO Museum) à Roswell, N.M., pousserait à croire que le présumé crash d'un OVNI près de cette ville, en juillet 1947, était un vrai événement extraterrestre. Au moins six vidéos s'alternant, et de nombreuses expositions, et des bandes audio explorent le témoignage de témoins oculaires et une forte preuve indirecte d'un crash extraterrestre, la récupération et l'opération de camouflage par de hautes autorités militaires.
Plusieurs des pilotes de l'époque, à la Roswell Army Air Base, déclarent sur bande que dans les quelques jours suivant l'incident, ils se sont envolé avec des débris à Fort Worth Army Air Field, à Washington, D.C., et à Wright Field (Dayton, Ohio). Trois vols ont aussi été faits à Los Alamos, N.M. Bien sûr ces vols non prévus, dit de traîner des débris d'un crash, ne prouvent pas qu'un véhicule extraterrestre a été récupéré ou dissimulé à Roswell. Ce que les vols prouvent est que le crash a été pris au sérieux par le commandant de Base à Roswell et son intelligence et du personnels aériens au niveau local.
S'ensuit maintenant une histoire de Roswell et Los Alamos qui peut expliquer les trois vols faits du Roswell Army Air Field à Los Alamos le 9 juillet 1947, quelques jours après le crash. Cette histoire est de Carol Syska, ancienne directrice du UFO Museum à Roswell (Musée d'OVNI) pendant 1999 et la plupart de l'année 2000.
Carol était une secrétaire de groupe et la directrice de division du budget à Los Alamos pendant presque 30 ans.
Elle a pris sa retraite en 1988 et déménagé à Roswell, N.M., pas loin de la ville où elle est née et grandit. Carol entendit parler d'OVNIs, pour la première fois, lorsqu'elle habita en Californie au début des années 1950, aboutissant à un intérêt des OVNIs en général. Un jour à Los Alamos, elle a lu qu'un rapport contenant de l'information sur les OVNIs, était disponible dans la bibliothèque du laboratoire. Cela lui sembla intéressant. Elle commanda le rapport. Elle a lu un livret, intitulé Projet Blue Book, qui contenait quelques commentaires à propos de débris d'un véhicule accidenté étant envoyés à Los Alamos pour des analyses.Dans ce temps-là (1962), Carol travaillait au Lab with the NonDestructive Test Group (NDT). Son patron, un scientifique ayant plus d'ancienneté, était le chef du NDT et avait été avec le Lab depuis le début du Manhattan Project. S'il y avait eu des analyses ayant été faites sur des débris de crash, le patron de Carol saurait à propos des analyses et la vérité du crash à Roswell.
Carol est allée au bureau de l'homme et lui a montré le rapport.
Elle a demandé, "Est-ce vrai ?"
Le patron de Carol, d'une façon habile en affaires, a répondu, "Quel est le niveau de votre "security clearance" ?"
Carol a dit, "Monsieur, vous savez aussi bien que moi ce que c'est."(Carol m'a dit que dans ce temps-là, elle détenait un "clearance" Q.
Un "clearance" Q est un très haut "National Security clearance".)Le patron de Carol, après une pause, a dit, "Bien, avez-vous le besoin de savoir ?"
Carol a dit, "Crois pas," et s'est dirigée vers la porte.
Le patron de Carol a dit, "Juste une minute."
Après une autre pause, il a ajouté, "Je vous conseillerais de lire tout ce que vous voyez à propos de ce sujet."C'était la fin de la conversation. Carol n'a jamais de nouveau rediscuté la question avec son patron, le scientifique ayant plus d'ancienneté, qui est maintenant décédé. Mais Carol croit que le scientifique lui a donné une indication de la vérité.
L'histoire de Carol se poursuit. Une après-midi au début des années 1980, Carol était en co-voiturage avec trois hommes, s'en allant à la maison, quand un d'entre eux a indiqué une lumière brillante dans le ciel à un angle d'environ 45 degrés au-dessus de l'horizon. Le soleil s'était déjà couché derrière les montagnes.
"Nous avons tous regardé la lumière, qui ne se déplaçait pas. Tout à coup, elle est tombée d'environ 20 degrés et a fait un virage en angle droit vers l'est et est partie dans un clignement des yeux. Un camarade a fait une remarque, ' Je viens de sortir de l'Air Force (armée de l'air), il y a trois mois, et nous n'avons rien comme ça! ' Nous n'avons jamais parlé à qui que ce soit de cet incident," commenta Carol. "Nous n'avons pas voulu nous ridiculiser."
Après la retraite du Laboratoire, Carol a joint le personnel du Roswell UFO Museum.
Lors de la première visite de Carol au Musée d'OVNI, elle a vu une lettre du Secretary of the Air Force, disant qu'à aucun moment l'incident Roswell avait été mentionné dans le Project Blue Book. Cette lettre prouva à Carol que des opérations de camouflage du gouvernement avaient lieu. Carol a continué à lire, au fil des années, les démentis d'une opération de camouflage.Un jour, pendant l'été de 1998, une dame de l'Ohio, visitant le UFO Museum, a dit à Carol qu'elle a toujours voulu visiter Roswell depuis la lecture du crash d'OVNI, il y a plusieurs années. Sachant que l'Incident Roswell n'était pas connu du publique avant les années 1980, Carol demanda à la dame ce qu'elle avait lu, qui lui avait parlé du crash. La dame a répondit qu'elle avait lu à propos du crash lorsqu'elle travaillait à la Wright-Patterson Air Force Base (autrefois Wright Field), au début des années 60.
Carol a demandé à cette dame ce qu'elle avait lu.
La dame a répondu, "C'était dans le Project Blue Book, la toute première édition."Cette conversation entre Carol et la dame de l'Ohio, a confirmé la croyance de Carol en une opération de camouflage du gouvernement de l'Incident Roswell. Pourquoi ? Parce que l'Incident a été inexplicablement retiré des éditions postérieures du Blue Book.
L'histoire de Carol soulève de sérieuses questions pour les étudiants d'OVNIs et de l'Incident Roswell. Les chercheurs ont longtemps cru que Los Alamos aurait pu jouer un plus grand rôle, dans l'Incident, qu'actuellement compris.
Certaines de ces questions pourraient être :
1. Pourquoi des leaders militaires enverraient-ils une pile de parties de ballon météorologique, des cibles de radar "radar targets" et des mannequins de crash, fabriqués en Amérique, pour fin d'analyse à un des laboratoires les plus sophistiqués dans le monde pour l'évaluation ?
2. Pourquoi faudrait-il un "Q clearance" pour examiner ces analyses plus un besoin de savoir, si seulement des parties de ballon météorologique ont été envoyées au Lab ?
3. Quel était le vrai objectif des trois vols du Roswell Army Air Field à Los Alamos, le 9 juillet 1947 ?
4. Est-ce que les éditions postérieures du Project Blue Book ont été modifiées pour cacher le fait que des débris de crash ont été envoyés de Roswell au Lab ?
5. Et finalement, la question fondamentale : Est-ce qu'un vaisseau spatial extraterrestre s'est effondré près de Roswell en 1947, et a-t-il été fabriqué sur une autre planète, et est-ce que l'événement a été caché au public depuis ?
Comme j'ai suggéré, une visite au UFO Museum à Roswell pourrait être une expérience inoubliable pour ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Le musée est ouvert sept jours par semaine et l'entrée est gratuite.
James Parsons était un navigateur de l'Armée de l'Air (Air Force) dans les années 1950. Il est un évaluateur d'art dans le Taos, N.M., et un membre de deux groupes d'étude d'OVNI.
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Révision : 20 juin 2005